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Un mode de vie non toxique : un geste d’amour pour la planète… et pour ta famille

Notre quotidien est rempli de gestes automatiques : on nettoie, on cuisine, on se lave. Mais sans le savoir, ces gestes simples peuvent avoir un lourd impact — sur notre santé et sur l’environnement. Entre les produits de nettoyage industriels, les cosmétiques conventionnels et les emballages plastiques, on s’expose chaque jour à des substances toxiques qui s’accumulent autant dans notre corps que dans la nature.


L’eau : une ressource précieuse menacée


Beaucoup de produits que nous utilisons à la maison contiennent des ingrédients chimiques qui, une fois rincés dans l’évier ou la douche, finissent dans nos cours d’eau. Résultat? Des résidus de perturbateurs endocriniens, de micro plastiques et de produits toxiques qui se retrouvent dans l’eau potable… et dans les organismes vivants.


Ce que j’ai changé :

Je choisis soigneusement les produits que j’utilise pour le nettoyage de ma maison, de façon à ce que même les eaux usées ne soient en aucun cas néfastes pour l’environnement (ou pour ma santé).

J’ai choisi d’installer un filtre à gravité pour éliminer un maximum de polluants de l’eau que je consomme chaque jour. Un petit investissement pour une grande différence.


L’air que l’on respire à la maison


L’air intérieur est souvent plus pollué que l’air extérieur. Les coupables? Les produits ménagers chimiques, les bougies parfumées industrielles, les vapeurs de cuisson, ou encore les textiles traités. Ces sources libèrent des composés organiques volatils (COV) et des perturbateurs endocriniens.


Mes gestes concrets :

• J’aère chaque jour, même en hiver. Ouvrir les fenêtres quelques minutes permet de renouveler l’air et d’évacuer les polluants intérieurs.

• J’ai troqué mes produits ménagers conventionnels contre des essentiels naturels : savon de Marseille, vinaigre blanc et bicarbonate de soude. Simples, efficaces et sans danger.


Le plastique et notre système hormonal


Le plastique, en plus de polluer nos océans, s’infiltre dans notre quotidien et dans notre corps. On retrouve désormais des microplastiques dans le sang, les poumons, et même dans le placenta humain. Des substances comme le BPA et les phtalates peuvent dérégler notre système hormonal.


Comment j’ai transformé mon quotidien


Voici les changements concrets que j’ai faits pour reprendre le contrôle :



En cuisine :

Exit les poêles au téflon! J’ai adopté des casseroles en fonte et en acier inoxydable, durables et saines.

Dans la salle de bain :

• Je me brosse les dents avec un dentifrice en pastilles, aux ingrédients naturels et sécuritaires.

J’évite les désodorisants d’ambiance, les bougies parfumées, les parfums corporels ainsi que les produits pour le corps contenant des parabènes, des phosphates et d’autres perturbateurs endocriniens.

• Je me lave avec un savon artisanal sans parabènes, sulfates ni fragrance synthétique.

Côté eau :

Un filtre à gravité berkey, m’aide à boire une eau plus propre, sans contaminants invisibles.



Adopter un mode de vie non toxique, ce n’est pas viser la perfection. C’est simplement reprendre le pouvoir sur ce qu’on met sur notre peau, ce qu’on respire et ce qu’on consomme chaque jour. Pour nous, pour nos enfants, et pour la planète.


Et toi, par quoi vas-tu commencer?





1. Effet des détergents sur l’environnement – SPF Santé publique (Belgique)

2. Produits d’entretien préférables pour l’environnement – Commission de coopération environnementale (CEC)

3. Microplastiques : des perturbateurs endocriniens dans notre alimentation? – notre-planete.info


 
 
 

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